Il y a 4 sortes d’hommes : il y a ceux qui se lavent les mains avant d’aller pisser parce qu’ils les ont sales ; il y a ceux qui se les lavent après avoir pissé parce qu’ils ont la queue sale ; il y a ceux qui se les lavent avant et après pour les raisons précédemment mentionnées ou parce que la cuvette ou les poignées étaient sales, ou qu’ils l’ont soupçonné ; et puis il y a Jean-Luc Godard.
Il faudra un jour que quelqu’un m’explique comment une équipe composée de 3 joueurs brésiliens, 3 argentins, 3 espagnols, 1 allemand, 1 italien, 1 uruguayen, 1 belge et d’une dizaine d’autres nationalités européennes, africaines et américaines, plus seulement 6 Français qui ne jouent pas tout le temps, entraînée par un Allemand – sans même parler du staff, et du financement qatari – peut être unanimement considérée comme une équipe française, alors même que, plus ses supporters sont fanatisés, moins ils ont considèrent comme Français des concitoyens installés parfois sur le territoire national...
