François Cosmos
25
sept.
2016
En démocratie, il n'y a ni « pourris », ni « vendus » à quelqu'un, ni « traîtres » à quelque chose – jugements de valeur à laisser aux propagandes totalitaires –, mais des égaux qui ont tous le droit à leurs opinions, même s'il faut les contester ou les combattre, même si elles nous choquent, et même si elles nous paraissent infâmes.
François Cosmos
25
sept.
2016
Eux qui ne fréquentent ni la Riviera, ni Etretat, qui ne se sont jamais volontairement promenés dans les allées de Chantilly, les rues de Bordeaux ou les ruelles d'un des « plus beaux villages de France », eux qui ne connaissent que les dalles qu'on leur a fait pousser entre leurs barres d'immeubles lépreux, comment s'étonner que ceux d'entre eux qui sont les moins riches en imagination finissent par préférer le désert ou la mort.
François Cosmos
25
sept.
2016
C'est leur faire vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup trop d'honneur que de les qualifier de POPULISTES, qui commence comme POPULO, alors qu'ils ne sont que des DÉMAGOGUES, qui finit comme GOGUES.
François Cosmos
24
sept.
2016
Souvent, à leurs allures respectives, à leurs tête-à-tête empruntés, dès avant leur formation concrète on comprend que beaucoup de couples sont mal barrés.
François Cosmos
24
sept.
2016
La plupart des gens qui ne me connaissent qu'un peu imaginent probablement que je suis hautain et que je les méprise, car je fuis généralement les discussions impromptues. Mais c'est ma propre conversation que je trouve ennuyeuse ! [1] – Les autres doivent penser que je suis un imbécile, soit tout court, soit parce que je néglige ou n'ai aucun talent pour l'art de la conversation. Et ceux-là n'ont peut-être pas tout à fait tort. [1] Ne pas en rajouter non plus dans la coquetterie tout de même : Il est vrai par ailleurs que les discussions sur le temps qu'il fait, les vacances, les maladies, les...