François Cosmos
19
nov.
2010
15 novembre 2010. ANARCHISTE RÉPUBLICAIN/CONSERVATEUR [1] , faisant sien un retournement de la célèbre formule lampedusienne car convaincu qu'IL FAUT QUE RIEN NE CHANGE POUR QUE TOUT CHANGE, c'est ainsi que se présentait notre homme jusqu'au vrai-faux remaniement du gouvernement Sarkozy-Fillon de ce dimanche, que la Ministre de l'Economie intérimaire a décrit comme totalement révolutionnaire car ayant effectué un tour complet à 360°, ce qui l'a plongé (notre homme) dans un abîme de paradoxes. – Alors, Guépard ou pas Guépard ? [1] Comme on le sait, George Orwell, esprit libre s'il en est, dont l'œuvre...
François Cosmos
15
nov.
2010
Elle a une belle bouche – malheureusement un peu gâchée par tout le reste.
François Cosmos
13
nov.
2010
Ce matin sous la douche : Victoire ! Au débouché d’un véritable combat de Goliath contre un David sournois, portant ses attaques par derrière et par dessous, ayant déjà remporté une première bataille en poussant une tête sanguine et violacée, acérée comme une dague hittite, je suis enfin venu à bout, grâce à une résistance à ce siège de plus de deux mois, d’une hémorroïde perverse. – La Recette ? Une hygiène de vie quasi monacale, tant alimentaire que sexuelle, la prise régulière de médicaments malgré la désapprobation de tout un entourage, des nettoyages approfondis et renouvelés de l’endroit,...
François Cosmos
12
nov.
2010
(OTAGETHON, LA LIBÉRATION, 1.) Mais où sont les partisans du Non, que font-ils, pourquoi ne disent-ils rien ? Car on a vu le Grand Chef du Oui, s’il a effectivement perdu la main au point de ne plus arriver à faire libérer les otages français juste avant les échéances électorales, tenter de la reprendre juste après, de faire oublier le résultat du référendum sur la Constitution européenne, de redorer son blason, de se remettre en selle, de remonter dans les sondages, en annonçant la libération de FlorencetHussein, cette nouvelle grande cause nationale, en direct depuis l’Elysée, puis parvenir,...
François Cosmos
12
nov.
2010
(OTAGETHON, LA LIBÉRATION, 2.) A voir l’émotion, le soulagement, la joie, l’exultation qui entourent de partout la libération de Florence Aubenas, comme je regrette de ne pas l’avoir ainsi attendue, guettée tous les jours comme tout le monde, de ne pas avoir vécu dans les affres ses 157 jours de captivité, pour pouvoir savourer moi aussi maintenant par contrecoup, par satisfaction pleine et entière du devoir accompli et de l’issue heureuse, un tel bonheur.
