FAIRE CARRIÈRE, MONTER EN GRADE, GRAVIR LES ÉCHELONS…
Je n’ai pas besoin de ça, contrairement à la plupart des gens dans ce cas, pour me croire intelligent.
Je n’ai pas besoin de ça, contrairement à la plupart des gens dans ce cas, pour me croire intelligent.
Je me reconnais assez dans le portrait que fait Vladimir Nabokov de son personnage central de La Transparence des choses (traduction de Donald Harper et Jean-Bernard Blandenier) : « […] il gagna sa vie par les diverses occupations sans éclat qui sont le lot des jeunes gens brillants dénués d’ambition ou de dons particuliers ; ils prennent l’habitude de n’appliquer qu’une faible partie de leurs capacités à des besognes monotones ou charlatanesques. » – Mis à part que je ne suis pas brillant.
J’étais déjà féministe, que vous n’étiez pas encore né.e.s – c’est ce que j’ai parfois envie de répliquer à certaines réflexions ou interventions de certain.e.s féministes de la dernière heure. Mais je ne peux pas le prouver, sauf à ressortir honteusement quelques esquisses fort maladroites, au brouillon manuel, des présents apophtegmes, crachés par mes porte-plumes alors que je n’avais pas encore vingt ans. – Toutefois quand même, je peux préciser que je vis avec un homme depuis ma puberté, et que, bien obligé de fréquenter les toilettes publiques masculines, je sais de quoi il en retourne.
Aux États-Unis, il y avait eu les caucus ; en France, il y a désormais les cocus (du macronisme).
J’adore les hommages funèbres – les prononcer ou les écrire –, qui me permettent de compenser brillamment – et amplement – tout ce que je n’ai pas su apporter aux défunts, de leur vivant.