JOURNAL CONTEXTATAIRE, 4 JANVIER 2022. LE JOUR OÙ EMMANUEL MACRON A PERDU L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE
Un Président ne devrait pas encore dire ça… même si c’est ça qu’il faut faire.
Un Président ne devrait pas encore dire ça… même si c’est ça qu’il faut faire.
Quand on aime vraiment une femme [1] , on aime autant la voir s’habiller que de la voir se déshabiller. [1] En 2021-22, cette adresse pourra sans doute paraître à certain.e.s légèrement genrée, mais il vaut mieux ne parler que de ce que l’on connaît, pour ne pas risquer de dire trop de bêtises.
Toute mon agitation intellectuelle peine à déboucher sur quelque chose, car je souffre de fatigue chronique, comme Marie Curie ou Blake Edwards.
Je viens de voir un film scandaleux : Il y est question d’un prêtre qui a une relation sexuelle avec une jeune paroissienne, probablement en profitant du désarroi de celle-ci ; puis qui chasse violemment les fidèles de son église, parce qu’ils lui tiennent rigueur de cet écart révoltant. Entre alors en scène une fille pas encore majeure, qui non seulement veut coucher avec un homme qui a l’âge de son père (le prêtre une fois démissionné), mais qui choque les coutumes locales d’un pays étranger en remuant ostensiblement des fesses au cours d’un bal improvisé. La seule personne qui cherche à ramener...
Au terme interminable de l’interview hagio-masochiste d’Emmanuel Macron « Où va la France ? » – avec gros plans calculés à l’avance sur son visage aux deux ou trois moments où, tête et yeux baissés, il était censé exprimer son émotion au souvenir de faits marquants et sensibles de son quinquennat, mais qui donnaient plutôt l’impression, soit qu’il se cachait parce qu’il n’en éprouvait pas (d’émotion), soit que c’était surjoué, et mal en plus, et alors grotesque –, on a au moins obtenu confirmation qu’il y avait bien un pilote dans l’avion national, mais un pilote qui souffre d’hyperactivité pathologique,...