Elle ne se limite pas aux propos d’Éric Zemmour, puisque dans sa vidéo pyramidale Marine Le Pen reprend à son tour le mantra de Valérie Pécresse sur son absence de « main qui tremble », affichant ainsi le même mépris pour les personnes souffrant de Parkinson.
On peut en effet se poser la question face à l’annonce du meeting « immersif et olfactif » de Jean-Luc Mélenchon, qui s’était déjà dédoublé artificiellement lors de la précédente campagne présidentielle, mais qui pourrait nous faire quoi de plus sur scène cette fois-ci ?
Taubira Présidente, Jadot Premier Ministre, Montebourg à l’Économie et aux Finances, Roussel à l’Intérieur, Royal au Quai d’Orsay, Vallaud-Belkacem à l’Education, Batho à l’Environnement, Poutou au Travail, Ruffin Garde des Sceaux, Hamon à l’Economie Sociale et Solidaire, Cazeneuve à la Défense, Filipetti à la Culture, Rousseau à l’Egalité Hommes-Femmes, Larrouturou à la Semaine de 4 jours, à l’Alimentation, à l’Agriculture et à la Mer, Véran à la Santé, Edgar Morin au Grand Âge, Corbière aux Relations avec le Parlement, Glucksmann porte-parole, Hidalgo au Tourisme et Mélenchon au Commissariat...
Après la Gauche plurielle, la Gauche puérile ?
C’est ce qu’on a envie d’opposer à Emmanuel Macron, en miroir de la fameuse apostrophe de Nanni Moretti à Massimo D'Alema dans Aprile, « Dis quelque chose de gauche ! », car on ne le croit plus quand il lui arrive d’en prononcer, Parole parole parole et si peu d’actes – comme en matière d’environnement.
